01/04/2019

Chère Paulette,
Ne te braques pas. Tu n’es pas la destinatrice d’un coup monté ou d’une vengeance réfrigérée made in Balthazar ou qui sais-je d’autre mais bien d’une belle intention. (Je te dis ça à cause des confettis, j’espère qu’il n’y en aura pas partout…) (Après, je crois que j’avais oublié, entre autres, un vieux fichu si ça peut aider à ramasser…).
Car oui, Paulette, le mois d’Avril ne sonne pas seulement le glas de l’anniversaire de Laurent Baffie ou de Charles Baudelaire. Ni celui des poissons collés entre deux omoplates ou du fil dont il ne faut pas se découvrir (pauvre Ariane). Car c’est aussi ton birdybirthdayyy ! Etant donné que Clément n’a pas su me donner une date exacte de ta naissance (ça fait un peu comme Karl Lagerfeld en fait, c’est classe), je t’envoie cette douce missive un peu à l’aveuglette.
Plutôt que de croiser les doigts pour qu’elle arrive au bon moment, je suis allée directement à Cergy-Pontoise, allumer le feu d’un cierge dans l’église où nous a quitté Johnny.
Happy happy alors, merci pour tout, merci d’être vous.
Gros bisous 

-- Liselotte, la boule à facettes